WATA

Contraction de WasserTanzen, le WATA se pratique équipé d’un pince nez et le corps est, tout en douceur, totalement immergé, progressivement, puis la durée des apnées augmente. Entre les séquences sous l’eau, les inspires sont lents et profonds, comme dans le sommeil, afin de bien s’oxygéner.

Ensuite, le thérapeute harmonise une danse par des rotations, des arabesques, des ondulations du corps du patient.

Le Wata s’appuie sur le réflexe de plongée, qui ralentit le rythme cardiaque, la pression sanguine et le processus d’échanges gazeux, ce qui permet de rester plus longtemps sous l’eau sans effort. La pression de l’eau sur le corps renforce le cœur et les poumons et permet une plus grande absorption de l’oxygène. C’est un défi lancé à notre coordination motrice et à notre notion de l’équilibre. La conscience quotidienne du temps et de l’espace disparait, et laisse remonter des sensations enfouies.
La légèreté éprouvée sous l’eau communique une sensation de paix intense; l’alternance entre les respirations et les pauses induit le processus de guérison.

Vous sortirez paisible et étonné d’une séance de relaxation aquatique sous l’eau.

Le Wata fut mise au point en Suisse en 1987 par Arjana Brunschwiler, kinésithérapeute et Peter Schroter, psychologue.